Menu

Givors

Secteur de 11 ha au riche passé industriel, qui abrite encore aujourd’hui des activités pétrolières à proximité immédiate du fleuve, le site est localisé à Givors, dans la partie la plus méridionale du Grand Lyon. Lieu singulier de la métropole lyonnaise, situé à l’embouchure du Garon, ce terrain constitue un espace particulièrement stratégique pour imaginer de nouveaux liens entre la cité et son fleuve. Caractérisé simultanément par de fortes contraintes et de réelles qualités paysagères, il est en particulier desservi par la gare ferroviaire de Givors-Canal au nord et par une potentielle halte fluviale au sud. Dans le contexte de la transition énergétique, la recherche vise à explorer par le projet architectural les multiples enjeux et potentialités d’une reconversion du site en quartier mixte. Au niveau programmatique, les visions se basent sur le principe prospectif d’une certaine mixité entre habitations et activités, avec une attention accrue portée à la question du logement en milieu urbain. Des réflexions pertinentes sur l’implantation d’un centre de recherche dans le domaine de l’énergie, et une diversité d’espaces publics en regard des caractéristiques singulières du site, font également partie de la démarche.
+ INFOS
INFOS X
Vue aérienne du Rhône à Givors: au niveau de l’un des coudes du fleuve, le site pétrolier - inaccessible au public - est bordé par des cours d'eau côté est (le Rhône et le Garon), et par des infrastructures routières à l’ouest (le pont autoroutier et la rue Honoré Pététin).
[photo © Nicolas Sedlatchek]
+ INFOS
INFOS X
Vue du site d’étude à Givors : le pont autoroutier de 300 mètres de long, dont la mise en service date de 1970, contribue au caractère enclavé de cette partie de la ville.
[photo © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Vue du site d’étude à Givors : l’ancienne maison d’administration du Canal de Givors, qui permettait d’alimenter en charbon de nombreuses industries. Mis en service en 1780 et mesurant environ 260 mètres de long pour 180 mètres de large, il pouvait accueillir 250 bateaux.
[photo © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Vue du site d’étude à Givors : depuis les quais hauts et bas de la rive droite du fleuve, le site montre un visage dédié à la protection contre les crues du Rhône, agrémenté par une végétation ripisylve spontanée.
[photo © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Vue du site d’étude à Givors : les qualités paysagère et écologique de l’embouchure du Garon encouragent à imaginer de nouveaux usages du site.
[photo © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Vue du site d’étude à Givors : depuis le comblement du bassin du Canal en 1965, le site conserve une certaine activité pétrolière, dédiée à la création d’additifs et carburants spéciaux.
[photo © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Vue aérienne du port pétrolier en 1961 : accolé au bassin et face au Rhône, les activités du port pétrolier débutent en 1938, et se poursuivront jusque dans les années 1970.
[geneanet.org]
+ INFOS
INFOS X
Givors et le Rhône, carte postale du début du 20e siècle : le chemin de fer, acheminant le charbon plus efficacement, donne naissance à une industrie sidérurgique florissante. Le premier haut fourneau des Établissements Prénat est mis en fonction au bord du bassin en 1839.
+ INFOS
INFOS X
Planche analytique "Mobilité" : à terme, le réseau de mobilité givordin comportera un maillage privilégiant les connexions douces à travers le site ainsi qu’une navette fluviale sur le Rhône, connectant Givors à Lyon et Vienne.
[plan © LAST]
+ INFOS
INFOS X
Planche analytique "Programmes publics" : alors qu'ils sont relativement nombreux et répartis dans la vieille ville au sud, la partie nord montre moins de programmes publics, concentrant notamment les commerces le long de la Rue Jean Ligonnet, à l’ouest du site d'étude.
[plan © LAST]